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Selon des études, le risque pour les travailleurs de devenir invalides est trois fois plus élevé que celui de perdre leurs vies. L’invalidité fait directement appel à la perte de revenu. C’est ce qui justifie la souscription à l’assurance invalidité. Comment choisir la bonne ?
Le type d’assurance invalidité à choisir
Le législateur a mis au point deux types de différentes invalidités. L’invalidité à courte durée et l’invalidité à longue durée. La souscription à une assurance invalidité doit obéir soit à l’un ou à l’autre. Suivez ce lien pour en savoir plus. L’assurance invalidité à courte durée permet à l’assuré d’être pris en charge pendant 17 semaines. La longue durée d’invalidité quant à elle couvre l’assuré jusqu’à ses 65 ans.
Le montant de la prise en charge et la période d’attente
Selon la loi, il n’est pas permis à un assureur de proposer à l’assuré un montant qui soit au-dessus de son salaire avant l’invalidité. L’assuré doit en fonction des besoins mais aussi de ceux de sa famille faire ses planifications. Il faut le noter : en cas d’invalidité, les frais médicaux augmentent en fonction des traitements proposés. La période d’attente est généralement comprise entre un mois et un an ou plus encore. C’est le délai fixé par la police d’assurance et qui détermine à quel moment le versement des prestations doit débuter.
Lire les conditions générales
Elles existent pour apporter à l’assuré toutes les informations qui pourraient échapper lors de la signature. C’est pourquoi il est recommandé de les lire avant toute signature. Par exemple, en fonction de la définition de l’invalidité, certaines compagnies d’assurance ne prendront pas en charge la victime. En effet, si l’invalidité décrite permet à l’assuré d’exercer un autre travail, alors il ne sera pas considéré comme étant susceptible de bénéficier de cette assurance. Il lui sera demandé de chercher un autre travail simplement.