Nul ne se marie un jour pour se séparer de son partenaire après. Cependant, l’amour, loin de finir au tombeau comme beaucoup l’auraient souhaité se termine en bon milieu de la vie. Même si les raisons divergent selon des situations et des cas, la désunion de deux personnes doit suivre des processus légaux. Ces démarches sont nombreuses, mais en voici dans cet article deux.
Les démarches par consensus ou divorce par voie aisée
Aucune désunion n’est facile gérer. Que le couple ait d’enfant(s) qui les unit (ent) ou non, il y a une histoire d’amour qui a lié pendant un moment de la vie les deux personnes. Le divorce n’étant pas une guerre, les deux conjoints doivent faire usage de la séparation aisée (par consentement) pour le bien de tous. Ce type de divorce se présente lui aussi sous deux formes. Il s’agit du divorce conventionnel et du divorce par consentement mutuel judiciaire. Vous pouvez parcourir ce site pour avoir de plus ample d’information sur ces deux formes de divorces pratiques et libres. La première force de divorce par consensus consiste à réunir les époux avec leurs avocats afin de valider l’accord du divorce. C’est la voie de négociation la plus facile qui permet aux quatre de discuter des modalités que contient l’accord. Ce sera ensuite l’intervention d’un notaire ou d’un spécialiste judiciaire du domaine pour enclencher le long processus. Quant à la seconde forme, elle est également consensuelle, mais judiciaire. Elle fait appel en effet, à une requête de demande de divorce. Même si cette procédure de désunion réunir toutes les parties, la méthode diverse. Dans ce cas, c’est le juge qui a reçu la requête qui s’en charge de tout le processus. Il discute avec les époux et ensuite les avocats de chacun des mariés avant de prononcer le divorce.
Les démarches complexes d’un divorce
Le divorce une fois orchestré est irréversible. De ce fait, il important de prendre par l’étape de conciliation. Elle demeure la plus redoutée certes, mais c’est obligatoire pour justicier afin de se rassurer réellement compte de la ferme décision des époux. L’objectif fondamental de ce processus est d’éviter que la rupture ne soit la naissance d’un conflit. Si les deux parties maintiennent toujours leurs positions, le tribunal s’enchaîne avec l’ordonnance de non-conciliation ayant pour but de mentionner les accords et les modalités du divorce.